18 avril 2002, par Christophe Ancelin
Le 11 novembre 1994, pour un anniversaire en plein champ
Cette fleur est celle que je préfère
La référence des romantiques, des doux rêveurs,
Mais le cliché a eu ses heures
A célébrer tant d’anniversaires
Alors pour que le tien soit unique
J’ai donné à cette rose quelque pouvoir magique
Chaque fois que tu humeras son parfum
Et dira trois fois je t’aime comme à quelqu’un
Moi je t’aimerai trente fois plus
Et chaque pétale qu’elle perdra pour toi
Sera la preuve que trois millions de fois
Je t’ai (...)
10 février 2002, par Christophe Ancelin
"Alors la célébrité ?" Le message m’interpelle. Bien évidemment, je m’étais assuré de ma popularité auprès d’amis qui, quoique peu nombreux, m’étaient restés fidèles malgré ces années à côtoyer ma marginalité quelquefois limite ! J’entretenais ma côte dans l’éventualité d’une revente au prix de l’Argus, mais je ne me voyais pas encore star à l’affiche. D’accord, il y avait cet article dans le canard local, où j’apparaissais bien malgré moi, mais tout de même... Célèbre ? Non !
La vraie star du moment à mon sens, (...)
10 octobre 2001, par Christophe Ancelin
Il est vrai je suis un peu gauche parfois ; à droite la place du mort, dit-on. Souvent vert... de rage, pour parler politique mais enfin, l’homme de couleur aujourd’hui, c’est moi, le blanco !
Alors de l’autre côté de la mer, salut mes frères, voyez mes sœurs, le merdier où nous sommes... On s’en collerait jusqu’aux genoux de leur fric, à plus pouvoir avancer !
"Le capitalisme fait des ravages, ravageons le capitalisme", scandent en troupeaux bien ordonnés les Anars’ de France et de Navarre. Ah ! (...)
13 septembre 2000, par Christophe Ancelin
Le 13 Septembre 2000, entre 22 heures 50 et 2 heures 30
Le plus ennuyeux dans le fait de prendre en maturité, c’est qu’on y perd en innocence. Il n’y a qu’à ouvrir le grand livre des secrets pour tomber de déceptions en étonnements...
Et le peu d’innocence qui me restait s’est brisé sur l’écueil de l’incompréhension. Comme une épave qui chavire et coule, je me laisse submerger et sombre dans le cynisme.
Sinistre en effet, de croire encore à quelque vertu morale, quand chaque jour un peu plus, (...)
2 août 2000, par Christophe Ancelin
J’ai un souhait à faire, aimer l’humanité
Et j’ai une ambition, léguer ma terre
Comme le destin non-inscrit dans la pierre
J’aimerais que du passé un enfant soit fier
Celui qui ne tente rien n’a pas droit à l’erreur
Fuir le plus possible, dans la tête ou ailleurs
C’est votre choix de vie, l’à venir, pour l’instant
Mais à l’instabilité de vos sentiments
Je préfère la lenteur mon défaut, la patience mon atout
Je vis mes prétentions parfois modestement
Et d’un pas à la manière de l’ivre fou
Je trébuche (...)